
En principe les goûts ne se discutent pas. Ils constituent la singularité de chaque individu. Ce qui revient à remettre en question une personne jusqu’au plus profond d’elle-même en critiquant seulement ses goûts. Et lorsque l’on se risque malgré tout à échanger sur les goûts respectifs de chacun, il faut se méfier des conséquences. C’est un sujet qui touche à la sensibilité de l’individu. Un mystérieux trait de notre identité que l’on peut somme toute éduquer.
Avoir du goût, assurément chacun peut revendiquer ce qui lui semble beau. Et ce qui est beau pour l’une ne le sera pas nécessairement pour l’autre. C’est ainsi qu’il est possible à chacun de trouver chaussure à son pied sans se marcher dessus. D’ailleurs tous les goûts sont dans la nature nous apprend un célèbre adage. C’est ce qui fait tout à la fois la richesse du monde et conserve la singularité de chacun. Il y a une telle multitude de goûts que l’on ne finit pas de les découvrir. Et pour quiconque, une vie humaine n’est pas suffisante pour en apprécier toutes les saveurs.
Néanmoins dit-on les goûts comme les couleurs ne se discutent pas. L’individu se caractérise pas des goûts qui lui sont propres. Même si au cours d’une existence les goûts peuvent évoluer, se transmettre on a coutume de penser qu’un individu sensible à telle ou telle chose le restera. Et qu’a l’inverse il lui sera difficile de s’habituer à autre chose.
L’ouverture culturelle est cependant un facteur essentiel d’épanouissement si l’on veut évoluer et mieux accepter les évolutions naturelles du monde qui nous entoure. On ne peut raisonnablement rester accroché au regard que l’on portait enfant ou à toute autre époque donnée.
Parfois à trop rester camper sur l’apprentissage de goûts sans aller chercher plus loin on finit par s’y perdre totalement.
Et l’apprentissage est un exercice parfois de longue haleine. Pour mes goûts musicaux par exemple, je m’en remets à Flaubert : « pour qu’une chose devienne intéressante, il suffit de la regarder longtemps ».
Parmi les plus beaux albums que de musique que je possède, il n’en est pas un seul que j’ai aimé dès la première écoute. Chaque fois il m’a fallu écouter à plusieurs reprises les chansons, découvrir l’univers de l’album, me laisser pénétrer par de nouvelles sonorités avant d’en apprécier pleinement l’œuvre.
Certes mais ne dit-on pas de certaines personnes parfois : « cet homme a du goût ». Qu’a-t-il de plus que les autres. Un certain sens de l’esthétique et ce, par rapport à une norme bien entendu.
Avoir du goût, assurément chacun peut revendiquer ce qui lui semble beau. Et ce qui est beau pour l’une ne le sera pas nécessairement pour l’autre. C’est ainsi qu’il est possible à chacun de trouver chaussure à son pied sans se marcher dessus. D’ailleurs tous les goûts sont dans la nature nous apprend un célèbre adage. C’est ce qui fait tout à la fois la richesse du monde et conserve la singularité de chacun. Il y a une telle multitude de goûts que l’on ne finit pas de les découvrir. Et pour quiconque, une vie humaine n’est pas suffisante pour en apprécier toutes les saveurs.
Néanmoins dit-on les goûts comme les couleurs ne se discutent pas. L’individu se caractérise pas des goûts qui lui sont propres. Même si au cours d’une existence les goûts peuvent évoluer, se transmettre on a coutume de penser qu’un individu sensible à telle ou telle chose le restera. Et qu’a l’inverse il lui sera difficile de s’habituer à autre chose.
L’ouverture culturelle est cependant un facteur essentiel d’épanouissement si l’on veut évoluer et mieux accepter les évolutions naturelles du monde qui nous entoure. On ne peut raisonnablement rester accroché au regard que l’on portait enfant ou à toute autre époque donnée.
Parfois à trop rester camper sur l’apprentissage de goûts sans aller chercher plus loin on finit par s’y perdre totalement.
Et l’apprentissage est un exercice parfois de longue haleine. Pour mes goûts musicaux par exemple, je m’en remets à Flaubert : « pour qu’une chose devienne intéressante, il suffit de la regarder longtemps ».
Parmi les plus beaux albums que de musique que je possède, il n’en est pas un seul que j’ai aimé dès la première écoute. Chaque fois il m’a fallu écouter à plusieurs reprises les chansons, découvrir l’univers de l’album, me laisser pénétrer par de nouvelles sonorités avant d’en apprécier pleinement l’œuvre.
Certes mais ne dit-on pas de certaines personnes parfois : « cet homme a du goût ». Qu’a-t-il de plus que les autres. Un certain sens de l’esthétique et ce, par rapport à une norme bien entendu.
Bien d'accord avec toi : pour goûter une oeuvre (d'art, bien entendu) il faut la regarder plusieurs fois ! C'est vrai de la musique, mais aussi d'un roman, d'une pièce de théâtre, d'un film, d'un tableau.... Et c'est en cela qu'elle est une oeuvre d'art, qui peut parler à tous.
RépondreSupprimerDommage que ton dernier paragraphe ouvre sur un thème intéressant, sans le développer. Une autre fois, peut-être !
Marcello